Jeddah, KSA

The Islamic Corporation for the Insurance of Investment and Export Credit (ICIEC) has been honoured with the Islamic Finance News Award in the prestigious IFN Indonesia Deal of the Year 2022 for its " Sidra Capital's US$ 80 million ICIEC Insurance Cover ". ICIEC will receive the award during the IFN Dubai Awards Ceremony, Conrad Dubai, to be organized on the 16th of March, 2023.

ICIEC was named the recipient of the IFN Deal of the Year for its US$ 80 million political risk insurance cover extended to SIDRA Capital, which supported SIDRA Capital in securing a Shariah-compliant loan facility to PT MCT (Asia Trading) in Indonesia. The facility is used to fund transactions involving suppliers and operators in the mining and nickel trading sectors, specifically, to help SME mines have access to finance, assisting local mining companies in bridging the current financing gap.

The facility also promotes Islamic Finance in Indonesia and is an important source for foreign direct investment and foreign exchange for Indonesian companies, and is a good route towards economic integration between the OIC Member States. ICIEC’s cover for SIDRA Capital’s political risk of the financing aims to help underpin and support UN Sustainable Development Goals (SDGs), mainly towards decent work, economic growth and responsible consumption and production.

Mr. Oussama KAISSI, Chief Executive Officer of ICIEC, expressed his appreciation to Islamic Finance News for the IFN Indonesia Deal of the Year 2022, noting that this is an opportunity to present ICIEC's strength in providing support for major and meaningful development initiatives. He noted that this award illustrates the great potential of Islamic Finance and is proud that ICIEC is part of this expanding industry.

The IFN Awards ceremony is one of the most distinguished events in the Islamic finance industry, bringing together financial institutions and intermediaries from around the world to celebrate the accomplishments of law firms, financial service providers, fintech companies, and banks. The awards honour industry leaders and highlight the growing influence of Islamic financial services.

ICIEC, a member of the Islamic Development Bank (IsDB) Group, is committed to helping support the growth and reduce uncertainties in the member states and the world during a time of unparalleled risk and uncertainty. ICIEC's steady and reliable contribution to the economic growth of its member states is acknowledged and praised, even during unpredictable times, proving itself as a resilient force for impactful development.

La SIACE reçoit le prestigieux Prix IFN 2022 « Offre IFN Indonésie de l’année 2022 »

janvier 25, 2023

Jeddah, KSA

The Islamic Corporation for the Insurance of Investment and Export Credit (ICIEC) has been honoured with the Islamic Finance News Award in the prestigious IFN Indonesia Deal of the Year 2022 for its  » Sidra Capital’s US$ 80 million ICIEC Insurance Cover « . ICIEC will receive the award during the IFN Dubai Awards Ceremony, Conrad Dubai, to be organized on the 16th of March, 2023.

ICIEC was named the recipient of the IFN Deal of the Year for its US$ 80 million political risk insurance cover extended to SIDRA Capital, which supported SIDRA Capital in securing a Shariah-compliant loan facility to PT MCT (Asia Trading) in Indonesia. The facility is used to fund transactions involving suppliers and operators in the mining and nickel trading sectors, specifically, to help SME mines have access to finance, assisting local mining companies in bridging the current financing gap.

The facility also promotes Islamic Finance in Indonesia and is an important source for foreign direct investment and foreign exchange for Indonesian companies, and is a good route towards economic integration between the OIC Member States. ICIEC’s cover for SIDRA Capital’s political risk of the financing aims to help underpin and support UN Sustainable Development Goals (SDGs), mainly towards decent work, economic growth and responsible consumption and production.

Mr. Oussama KAISSI, Chief Executive Officer of ICIEC, expressed his appreciation to Islamic Finance News for the IFN Indonesia Deal of the Year 2022, noting that this is an opportunity to present ICIEC’s strength in providing support for major and meaningful development initiatives. He noted that this award illustrates the great potential of Islamic Finance and is proud that ICIEC is part of this expanding industry.

The IFN Awards ceremony is one of the most distinguished events in the Islamic finance industry, bringing together financial institutions and intermediaries from around the world to celebrate the accomplishments of law firms, financial service providers, fintech companies, and banks. The awards honour industry leaders and highlight the growing influence of Islamic financial services.

ICIEC, a member of the Islamic Development Bank (IsDB) Group, is committed to helping support the growth and reduce uncertainties in the member states and the world during a time of unparalleled risk and uncertainty. ICIEC’s steady and reliable contribution to the economic growth of its member states is acknowledged and praised, even during unpredictable times, proving itself as a resilient force for impactful development.

D'Abu Dhabi, EAU

La Société islamique d'assurance des investissements et des crédits à l'exportation (SIACE), branche assurance du Groupe de la Banque islamique de développement (BID), a signé aujourd'hui un protocole d'accord de grande envergure avec Abu Dhabi Future Energy Company (Masdar) qui devrait grandement promouvoir la transition vers les énergies renouvelables et propres sur les marchés d'intérêt mutuel pour les deux entités.

Le protocole d'accord a été signé par M. Oussama Kaissi, directeur général de la SIACE, et M. Mohamed Jameel Al Ramahi, directeur général de Masdar, lors de la Semaine de la durabilité d'Abu dhabi, qui a eu lieu entre le 15 au 19 janvier 2023.

Dans le cadre du protocole d'accord, les deux parties ont convenu de coopérer « pour promouvoir une action conjointe dans le montage, le financement et l'exécution de projets d'énergie renouvelable grâce au soutien d'assurance de la SIACE dans ses États membres. »

L'un des mandats de la SIACE consiste à promouvoir le flux d'investissements étrangers entre et vers ses États membres et d'élargir la portée des transactions commerciales entre eux. Cela comprend le soutien à la transition vers une énergie propre à travers la production d'électricité provenant de sources renouvelables non émettrices et, éventuellement, la transition vers une économie verte tout en garantissant une croissance économique durable.

Masdar a également pour mandat de développer des projets d'énergie renouvelable commercialement viables au Moyen-Orient et en Afrique du Nord (MENA) et sur les marchés internationaux. En décembre 2021, Masdar a lancé un partenariat mondial de puissance énergétique propre avec ADNOC, Mubadala et Taqa, partenariat destiné à être le fer de lance de la transition vers le zéro carbone net d'ici l’an 2050.

Le partenariat aura une capacité actuelle et exclusive combinée de plus de 23 gigawatts (GW) d'énergie renouvelable, avec l'espoir d'atteindre une capacité totale de plus de 50 GW d'ici l’an 2030. L'entité agrandie de Masdar deviendra l'une des plus grandes entreprises d'énergie propre de son genre et sera bien placée pour diriger l'industrie à l'échelle mondiale.

Masdar et la SIACE partagent un intérêt commun, celui de contribuer à la croissance des énergies renouvelables dans les États membres de la SIACE, y compris dans la région MENA, et à l'architecture internationale du financement climatique. La SIACE est bien placée pour jouer un rôle primordial dans l'engagement du secteur privé grâce, d'une part, à l'amélioration du crédit que ses polices fournissent aux institutions financières et, d’autre part, à l'accès dont elle jouit aux organismes nationaux et infranationaux de ses États membres, qui sont les dépositaires des projets pertinents et des transactions dans le domaine de l’action pour le climat.

M. Oussama Kaissi, PDG de la SIACE, s'est félicité de la signature de ce protocole d'accord historique. « La cooperation entre la SIACE et Masdar apporterait une meilleure coordination et une mise en œuvre plus efficace de leurs activités respectives et ce, au profit de la production d'énergie renouvelable dans les États membres de la SIACE. Chez la SIACE, chacune de nos polices d'assurance, que le preneur d'assurance soit une institution financière, une entreprise spécialisée ou un entrepreneur, offrant une couverture contre les risques politiques et commerciaux, peut contribuer au flux d'investissements, de technologies spécialisées et d'équipements ou de services liés à l'action pour le climat vers ses États membres, contribuant ainsi aux objectifs de l'Accord de Paris sur le climat et de l'agenda des ODD des Nations Unies ».

La SIACE signe un protocole d’accord historique avec Masdar d’Abu Dhabi pour promouvoir le montage, le financement et l’exécution de projets d’énergie renouvelable grâce au soutien de l’assurance de la SIACE dans ses États membres

janvier 21, 2023

D’Abu Dhabi, EAU

La Société islamique d’assurance des investissements et des crédits à l’exportation (SIACE), branche assurance du Groupe de la Banque islamique de développement (BID), a signé aujourd’hui un protocole d’accord de grande envergure avec Abu Dhabi Future Energy Company (Masdar) qui devrait grandement promouvoir la transition vers les énergies renouvelables et propres sur les marchés d’intérêt mutuel pour les deux entités.

Le protocole d’accord a été signé par M. Oussama Kaissi, directeur général de la SIACE, et M. Mohamed Jameel Al Ramahi, directeur général de Masdar, lors de la Semaine de la durabilité d’Abu dhabi, qui a eu lieu entre le 15 au 19 janvier 2023.

Dans le cadre du protocole d’accord, les deux parties ont convenu de coopérer « pour promouvoir une action conjointe dans le montage, le financement et l’exécution de projets d’énergie renouvelable grâce au soutien d’assurance de la SIACE dans ses États membres. »

L’un des mandats de la SIACE consiste à promouvoir le flux d’investissements étrangers entre et vers ses États membres et d’élargir la portée des transactions commerciales entre eux. Cela comprend le soutien à la transition vers une énergie propre à travers la production d’électricité provenant de sources renouvelables non émettrices et, éventuellement, la transition vers une économie verte tout en garantissant une croissance économique durable.

Masdar a également pour mandat de développer des projets d’énergie renouvelable commercialement viables au Moyen-Orient et en Afrique du Nord (MENA) et sur les marchés internationaux. En décembre 2021, Masdar a lancé un partenariat mondial de puissance énergétique propre avec ADNOC, Mubadala et Taqa, partenariat destiné à être le fer de lance de la transition vers le zéro carbone net d’ici l’an 2050.

Le partenariat aura une capacité actuelle et exclusive combinée de plus de 23 gigawatts (GW) d’énergie renouvelable, avec l’espoir d’atteindre une capacité totale de plus de 50 GW d’ici l’an 2030. L’entité agrandie de Masdar deviendra l’une des plus grandes entreprises d’énergie propre de son genre et sera bien placée pour diriger l’industrie à l’échelle mondiale.

Masdar et la SIACE partagent un intérêt commun, celui de contribuer à la croissance des énergies renouvelables dans les États membres de la SIACE, y compris dans la région MENA, et à l’architecture internationale du financement climatique. La SIACE est bien placée pour jouer un rôle primordial dans l’engagement du secteur privé grâce, d’une part, à l’amélioration du crédit que ses polices fournissent aux institutions financières et, d’autre part, à l’accès dont elle jouit aux organismes nationaux et infranationaux de ses États membres, qui sont les dépositaires des projets pertinents et des transactions dans le domaine de l’action pour le climat.

M. Oussama Kaissi, PDG de la SIACE, s’est félicité de la signature de ce protocole d’accord historique. « La cooperation entre la SIACE et Masdar apporterait une meilleure coordination et une mise en œuvre plus efficace de leurs activités respectives et ce, au profit de la production d’énergie renouvelable dans les États membres de la SIACE. Chez la SIACE, chacune de nos polices d’assurance, que le preneur d’assurance soit une institution financière, une entreprise spécialisée ou un entrepreneur, offrant une couverture contre les risques politiques et commerciaux, peut contribuer au flux d’investissements, de technologies spécialisées et d’équipements ou de services liés à l’action pour le climat vers ses États membres, contribuant ainsi aux objectifs de l’Accord de Paris sur le climat et de l’agenda des ODD des Nations Unies ».

La Société islamique pour l'assurance des investissements et des crédits à l'exportation (SIACE), membre du Groupe de la Banque islamique de développement (BID), se félicite de l'adhésion de la République d'Azerbaïdjan en tant que 49ème État membre.

Les solutions d'assurance de la SIACE stimulent des projets stratégiques et améliorent l'attractivité des investissements de ses États membres.

La SIACE travaillera en étroite collaboration avec le gouvernement azerbaïdjanais pour soutenir des projets d'infrastructure économique et sociale dans les domaines du commerce, de l'agriculture, de l'énergie, de l'eau, de l'assainissement et des services urbains et avec le secteur privé pour améliorer l'accès au financement. La SIACE soutient les priorités nationales de l'Azerbaïdjan pour le développement socio-économique à l'horizon 2030 en réalisant une croissance économique durable et un bien-être social élevé et en garantissant leur priorité pour un environnement propre et un pays de « croissance verte ». La présence de la SIACE en tant que partenaire d'investissement rassure et encourage les autres investisseurs potentiels à la recherche d'opportunités en Azerbaïdjan. Les projets d'investissement créent souvent des emplois, des infrastructures améliorées, modernes et efficaces et une meilleure qualité de vie pour les citoyens.

M. Oussama Kaissi, Directeur général de la SIACE, a souhaité la bienvenue à la République d'Azerbaïdjan, en déclarant : "L'adhésion de la République d'Azerbaïdjan ouvre la porte à ses secteurs privé et public pour leur permettre de bénéficier des solutions d'atténuation des risques et d'amélioration du crédit proposées par la SIACE afin de développer leurs exportations et promouvoir l'afflux d'investissements directs étrangers. De même, il permet aux exportateurs, banques et investisseurs dans les autres États membres et non membres, de couvrir les risques politiques et commerciaux liés à leurs opérations en Azerbaïdjan.

La SIACE accueille la République d’Azerbaïdjan en tant que 49ème État membre

janvier 16, 2023

La Société islamique pour l’assurance des investissements et des crédits à l’exportation (SIACE), membre du Groupe de la Banque islamique de développement (BID), se félicite de l’adhésion de la République d’Azerbaïdjan en tant que 49ème État membre.

Les solutions d’assurance de la SIACE stimulent des projets stratégiques et améliorent l’attractivité des investissements de ses États membres.

La SIACE travaillera en étroite collaboration avec le gouvernement azerbaïdjanais pour soutenir des projets d’infrastructure économique et sociale dans les domaines du commerce, de l’agriculture, de l’énergie, de l’eau, de l’assainissement et des services urbains et avec le secteur privé pour améliorer l’accès au financement. La SIACE soutient les priorités nationales de l’Azerbaïdjan pour le développement socio-économique à l’horizon 2030 en réalisant une croissance économique durable et un bien-être social élevé et en garantissant leur priorité pour un environnement propre et un pays de « croissance verte ». La présence de la SIACE en tant que partenaire d’investissement rassure et encourage les autres investisseurs potentiels à la recherche d’opportunités en Azerbaïdjan. Les projets d’investissement créent souvent des emplois, des infrastructures améliorées, modernes et efficaces et une meilleure qualité de vie pour les citoyens.

M. Oussama Kaissi, Directeur général de la SIACE, a souhaité la bienvenue à la République d’Azerbaïdjan, en déclarant : « L’adhésion de la République d’Azerbaïdjan ouvre la porte à ses secteurs privé et public pour leur permettre de bénéficier des solutions d’atténuation des risques et d’amélioration du crédit proposées par la SIACE afin de développer leurs exportations et promouvoir l’afflux d’investissements directs étrangers. De même, il permet aux exportateurs, banques et investisseurs dans les autres États membres et non membres, de couvrir les risques politiques et commerciaux liés à leurs opérations en Azerbaïdjan.

Djeddah, Arabie Saoudite

La Société Islamique d'Assurance des Investissements et des Crédits à l'Exportation (SIACE) a signé aujourd'hui un protocole d'accord (MoU) avec la Société Al-Rajhi International Investment (RAII) d'Arabie Saoudite en vertu duquel les deux parties coopéreraient pour la mise en synergie de la coordination, le développement des affaires et la mise en œuvre efficace de projets dans les secteurs vitaux de l'agriculture et de la sécurité alimentaire dans les pays membres de la SIACE.

La Société RAII est une filiale de la Société Sulaiman Abdulaziz Al-Rajhi Awqaf Holding, qui est l'un des plus grands groupes commerciaux d'Arabie Saoudite, et dont les activités principales comprennent des investissements dans les secteurs de l'agriculture et de la sécurité alimentaire et dans des domaines connexes à l'échelle mondiale.

Le protocole d'accord a été signé par M. Oussama A. Kaissi, DG de la SIACE, et M. Ahmed Ali Aldakheel, DG de la RAII.

Le protocole d'accord vise à contribuer à la réalisation de l'autosuffisance alimentaire en Arabie Saoudite et dans les États membres de la SIACE dans lesquels la Société RAII est déjà engagée, en explorant conjointement de nouvelles opportunités agro-industrielles, en investissant dans des projets agricoles et de sécurité alimentaire, en améliorant et en développant les infrastructures agricoles au stade avancé au niveau des PME, de l'agriculture rurale, et des opportunités de cofinancement et de conseil technique avec les clients et partenaires de la SIACE et ce, en utilisant ses solutions en matire d'atténuation des risques et d'amélioration du crédit .

Le protocole d'accord vise également à contribuer à stimuler la production agricole en se concentrant sur les technologies de développement  et les services de gestion agricoles permettant de maximiser la productivité.

La Société RAII possède le projet d'agriculture biologique le plus étendu du Royaume, l'un des plus grands projets avicoles en Arabie ainsi qu’un projet avicole intégré en Égypte. Ses produits sont exportés vers les marchés voisins du GCC, du Yémen, de la Chine et du Vietnam.

La SIACE et le Groupe de la BID  ont une approche ciblée de l'industrie agricole et alimentaire dans les États membres, dont 36 sont des importateurs nets de produits alimentaires. Le soutien financier total du Groupe de la BID pour l'agriculture et la sécurité alimentaire s'élève actuellement à 20,6 milliards de dollars.

Plus tôt en 2022, le Groupe de la BID a lancé un programme global d'intervention en matière de sécurité alimentaire (FSRP) de 10,54 milliards de dollars visant à aider les États membres à faire face à la crise alimentaire actuelle et à intensifier les efforts continus du Groupe pour contribuer au renforcement de la résilience de ses membres aux chocs de sécurité alimentaire dans l'avenir. La SIACE soutient cette initiative de « One Group-One Goal » avec une allocation de 500 millions de dollars en  et en assurance des risques politiques et decrédit.

M. Oussama KAISSI, DG de la SIACE, a déclaré : « L'agriculture, la durabilité et la sécurité alimentaires sont des secteurs essentiels pour la SIACE. Notre mandat comprend le soutien au commerce et à l'investissement intra-OCI en fournissant nos outils uniques d’amèloration des conditions de crédit conformèment à la charia contre les risques commerciaux et non commerciaux. Les États membres de la SIACE et d'importantes parties du monde sont confrontés à une crise alimentaire sans précédent. Les prix des denrées alimentaires, en particulier pour les céréales, n'ont cessé d'augmenter ces dernières années et se sont envolés récemment à la suite de la crise russo-ukrainienne. Le changement climatique est également l'un des principaux facteurs exacerbant l'insécurité alimentaire en raison de la faible productivité et des mauvaises récoltes. »

« Nous nous félicitons de cet important protocole d'accord avec la Société RAII, une institution qui jouit d'une réputation vénérable dans le secteur tant au Royaume d'Arabie Saoudite que dans le reste du monde. Nous attendons avec impatience un partenariat fructueux avec la Société RAII dans la réalisation de nos mandats mutuels de renforcement de l'agriculture et des potentiels de la sécurité alimentaire tout en attirant des investissements étrangers vitaux pour améliorer la production, les rendements et la productivité. »

La SIACE signe un protocole d’accord de coopération avec la Société Al Rajhi International Investment pour mettre en synergie la coordination, le développement des affaires et la mise en œuvre de projets dans les secteurs vitaux de l’agriculture et de la sécurité alimentaire.

décembre 27, 2022

Djeddah, Arabie Saoudite

La Société Islamique d’Assurance des Investissements et des Crédits à l’Exportation (SIACE) a signé aujourd’hui un protocole d’accord (MoU) avec la Société Al-Rajhi International Investment (RAII) d’Arabie Saoudite en vertu duquel les deux parties coopéreraient pour la mise en synergie de la coordination, le développement des affaires et la mise en œuvre efficace de projets dans les secteurs vitaux de l’agriculture et de la sécurité alimentaire dans les pays membres de la SIACE.

La Société RAII est une filiale de la Société Sulaiman Abdulaziz Al-Rajhi Awqaf Holding, qui est l’un des plus grands groupes commerciaux d’Arabie Saoudite, et dont les activités principales comprennent des investissements dans les secteurs de l’agriculture et de la sécurité alimentaire et dans des domaines connexes à l’échelle mondiale.

Le protocole d’accord a été signé par M. Oussama A. Kaissi, DG de la SIACE, et M. Ahmed Ali Aldakheel, DG de la RAII.

Le protocole d’accord vise à contribuer à la réalisation de l’autosuffisance alimentaire en Arabie Saoudite et dans les États membres de la SIACE dans lesquels la Société RAII est déjà engagée, en explorant conjointement de nouvelles opportunités agro-industrielles, en investissant dans des projets agricoles et de sécurité alimentaire, en améliorant et en développant les infrastructures agricoles au stade avancé au niveau des PME, de l’agriculture rurale, et des opportunités de cofinancement et de conseil technique avec les clients et partenaires de la SIACE et ce, en utilisant ses solutions en matire d’atténuation des risques et d’amélioration du crédit .

Le protocole d’accord vise également à contribuer à stimuler la production agricole en se concentrant sur les technologies de développement  et les services de gestion agricoles permettant de maximiser la productivité.

La Société RAII possède le projet d’agriculture biologique le plus étendu du Royaume, l’un des plus grands projets avicoles en Arabie ainsi qu’un projet avicole intégré en Égypte. Ses produits sont exportés vers les marchés voisins du GCC, du Yémen, de la Chine et du Vietnam.

La SIACE et le Groupe de la BID  ont une approche ciblée de l’industrie agricole et alimentaire dans les États membres, dont 36 sont des importateurs nets de produits alimentaires. Le soutien financier total du Groupe de la BID pour l’agriculture et la sécurité alimentaire s’élève actuellement à 20,6 milliards de dollars.

Plus tôt en 2022, le Groupe de la BID a lancé un programme global d’intervention en matière de sécurité alimentaire (FSRP) de 10,54 milliards de dollars visant à aider les États membres à faire face à la crise alimentaire actuelle et à intensifier les efforts continus du Groupe pour contribuer au renforcement de la résilience de ses membres aux chocs de sécurité alimentaire dans l’avenir. La SIACE soutient cette initiative de « One Group-One Goal » avec une allocation de 500 millions de dollars en  et en assurance des risques politiques et decrédit.

M. Oussama KAISSI, DG de la SIACE, a déclaré : « L’agriculture, la durabilité et la sécurité alimentaires sont des secteurs essentiels pour la SIACE. Notre mandat comprend le soutien au commerce et à l’investissement intra-OCI en fournissant nos outils uniques d’amèloration des conditions de crédit conformèment à la charia contre les risques commerciaux et non commerciaux. Les États membres de la SIACE et d’importantes parties du monde sont confrontés à une crise alimentaire sans précédent. Les prix des denrées alimentaires, en particulier pour les céréales, n’ont cessé d’augmenter ces dernières années et se sont envolés récemment à la suite de la crise russo-ukrainienne. Le changement climatique est également l’un des principaux facteurs exacerbant l’insécurité alimentaire en raison de la faible productivité et des mauvaises récoltes. »

« Nous nous félicitons de cet important protocole d’accord avec la Société RAII, une institution qui jouit d’une réputation vénérable dans le secteur tant au Royaume d’Arabie Saoudite que dans le reste du monde. Nous attendons avec impatience un partenariat fructueux avec la Société RAII dans la réalisation de nos mandats mutuels de renforcement de l’agriculture et des potentiels de la sécurité alimentaire tout en attirant des investissements étrangers vitaux pour améliorer la production, les rendements et la productivité. »

Karachi, Pakistan

La Société Islamique pour l'Assurance des Investissements et des Crédits à l'Exportation (SIACE), la branche assurance du Groupe de la Banque Islamique de Développement (BID), a signé un protocole d'accord important avec la Chambre Islamique de Commerce, d'Industrie et d'Agriculture (CICIA)par lequel les deux parties conviennent de coopérer « pour promouvoir le commerce et l'investissement dans les États membres communs aux deux ».

La CICIA, dont le siège est à Karachi, au Pakistan, qui est une organisation non gouvernementale internationale, est affiliée à l'Organisation de la coopération islamique (OCI) et représente le secteur privé des 57 États membres de l'OCI.

Le protocole d'accord a été signé par M. Oussama Kaissi, Directeur général de la SIACE, et M. Yousef Hasan Khalawi, secrétaire général de la CICIA, à Karachi, Pakistan. L'objectif du protocole d'accord est d'établir un cadre de coopération entre les deux institutions pour la poursuite de leurs mandats respectifs, notamment dans la promotion du commerce intra-OCI, l'attraction des flux d'investissement dans les États membres, le soutien au financement vert et durable et le développement de l'industrie Halal à l'échelle mondiale.

Le rôle de la SIACE dans la promotion du commerce et de l'investissement dans ses États membres est soutenu par le fait que depuis sa création, la Société a déboursé un montant cumulé de 92,1 milliards de dollars à cet effet. Sur ce chiffre, 72,7 milliards de dollars représentent le soutien du crédit pour le commerce, tandis que 18,4 milliards de dollars sont destinés pour couvrir les Investissements Etrangers Directs (IED).

En outre, la SIACE considère que son rôle est essentiel dans l'assurance-crédit à l'exportation et l'assurance contre les risques politiques afin d’aider à combler le déficit de financement de l'action climatique grâce à la réduction des risques, à la mobilisation de capitaux privés et aux partenariats. Les chaînes de valeur et d'approvisionnement liées aux énergies vertes et renouvelables sont complexes, et la SIACE voit dans ses États membres un large éventail d'opportunités pour relever le double défi d'atténuation et d'adaptation au changement climatique. À cette fin, La SIACE a contribué avec plus de 418 millions de dollars aux infrastructures et avec plus de 3,9 milliards de dollars au soutien de l'énergie propre jusqu'à présent et en 2022 seulement.

L'objectif de l'OCI pour les flux de commerce et d'investissement intra-OCI est de 25% d'ici 2025. Actuellement, il est d'environ 21%. Le commerce mondial et les flux d'IED ont été durement touchés par l'impact de la COVID-19. Mais juste au moment où les tendances ont commencé à se redresser en 2021, le commerce et l'investissement ont de nouveau été touchés par le conflit ukrainien, par les perturbations de la chaîne d'approvisionnement et, en particulier, par la forte hausse des prix des denrées alimentaires et du carburant ainsi que les chocs économiques mondiaux. Les 57 États membres de l'OCI forment un bloc commercial important et potentiellement puissant. Les données de la BID montrent qu'en 2021, ils représentaient 3,7 billions de dollars de commerce, dont les exportations s'élevaient à 1 881,4 milliards de dollars et les importations à 1 789,6 milliards de dollars, respectivement. Les opportunités sont énormes et des partenariats tels que ce protocole d'accord ne peuvent servir qu'à renforcer le commerce et l'investissement intra-OCI.

M. Oussama Kaissi, Directeur général de la SIACE, s'est félicité de la signature du protocole d'accord avec la CICIA : « Ce protocole d'accord renforce encore les règles continues de la SIACE concernant le soutien au commerce et à l'investissement dans nos 48 États membres. Ayant démarré en 1994, la SIACE a 28 ans d'expérience dans le lancement et l'introduction d'outils d'atténuation des risques et d'amélioration du crédit conformes à la charia, et ce, notamment pour la promotion du commerce intra-OCI et l'investissement dans des projets jugés stratégiquement vitaux pour notre États membres. » « Nous sommes un fervent partisan de la promotion du commerce et des investissements intra-OCI. En 2022, la valeur totale du commerce et des investissements intra-OCI soutenus par la SIACE a atteint 88 milliards de dollars. Grâce à ce protocole d'accord, nous sommes impatients d'aider les exportateurs, les investisseurs et les institutions financières à atteindre de nouveaux marchés à l'échelle mondiale, puisque nos solutions leur permettent de contourner les risques politiques et commerciaux inhérents au commerce international. »

La SIACE signe un Protocole d’accord de coopération avec la CICIA pour soutenir et promouvoir le commerce et l’investissement, le financement vert et l’économie Halal dans les États membres communs en utilisant les solutions de réduction des risques de la SIACE

décembre 19, 2022

Karachi, Pakistan

La Société Islamique pour l’Assurance des Investissements et des Crédits à l’Exportation (SIACE), la branche assurance du Groupe de la Banque Islamique de Développement (BID), a signé un protocole d’accord important avec la Chambre Islamique de Commerce, d’Industrie et d’Agriculture (CICIA)par lequel les deux parties conviennent de coopérer « pour promouvoir le commerce et l’investissement dans les États membres communs aux deux ».

La CICIA, dont le siège est à Karachi, au Pakistan, qui est une organisation non gouvernementale internationale, est affiliée à l’Organisation de la coopération islamique (OCI) et représente le secteur privé des 57 États membres de l’OCI.

Le protocole d’accord a été signé par M. Oussama Kaissi, Directeur général de la SIACE, et M. Yousef Hasan Khalawi, secrétaire général de la CICIA, à Karachi, Pakistan. L’objectif du protocole d’accord est d’établir un cadre de coopération entre les deux institutions pour la poursuite de leurs mandats respectifs, notamment dans la promotion du commerce intra-OCI, l’attraction des flux d’investissement dans les États membres, le soutien au financement vert et durable et le développement de l’industrie Halal à l’échelle mondiale.

Le rôle de la SIACE dans la promotion du commerce et de l’investissement dans ses États membres est soutenu par le fait que depuis sa création, la Société a déboursé un montant cumulé de 92,1 milliards de dollars à cet effet. Sur ce chiffre, 72,7 milliards de dollars représentent le soutien du crédit pour le commerce, tandis que 18,4 milliards de dollars sont destinés pour couvrir les Investissements Etrangers Directs (IED).

En outre, la SIACE considère que son rôle est essentiel dans l’assurance-crédit à l’exportation et l’assurance contre les risques politiques afin d’aider à combler le déficit de financement de l’action climatique grâce à la réduction des risques, à la mobilisation de capitaux privés et aux partenariats. Les chaînes de valeur et d’approvisionnement liées aux énergies vertes et renouvelables sont complexes, et la SIACE voit dans ses États membres un large éventail d’opportunités pour relever le double défi d’atténuation et d’adaptation au changement climatique. À cette fin, La SIACE a contribué avec plus de 418 millions de dollars aux infrastructures et avec plus de 3,9 milliards de dollars au soutien de l’énergie propre jusqu’à présent et en 2022 seulement.

L’objectif de l’OCI pour les flux de commerce et d’investissement intra-OCI est de 25% d’ici 2025. Actuellement, il est d’environ 21%. Le commerce mondial et les flux d’IED ont été durement touchés par l’impact de la COVID-19. Mais juste au moment où les tendances ont commencé à se redresser en 2021, le commerce et l’investissement ont de nouveau été touchés par le conflit ukrainien, par les perturbations de la chaîne d’approvisionnement et, en particulier, par la forte hausse des prix des denrées alimentaires et du carburant ainsi que les chocs économiques mondiaux. Les 57 États membres de l’OCI forment un bloc commercial important et potentiellement puissant. Les données de la BID montrent qu’en 2021, ils représentaient 3,7 billions de dollars de commerce, dont les exportations s’élevaient à 1 881,4 milliards de dollars et les importations à 1 789,6 milliards de dollars, respectivement. Les opportunités sont énormes et des partenariats tels que ce protocole d’accord ne peuvent servir qu’à renforcer le commerce et l’investissement intra-OCI.

M. Oussama Kaissi, Directeur général de la SIACE, s’est félicité de la signature du protocole d’accord avec la CICIA : « Ce protocole d’accord renforce encore les règles continues de la SIACE concernant le soutien au commerce et à l’investissement dans nos 48 États membres. Ayant démarré en 1994, la SIACE a 28 ans d’expérience dans le lancement et l’introduction d’outils d’atténuation des risques et d’amélioration du crédit conformes à la charia, et ce, notamment pour la promotion du commerce intra-OCI et l’investissement dans des projets jugés stratégiquement vitaux pour notre États membres. » « Nous sommes un fervent partisan de la promotion du commerce et des investissements intra-OCI. En 2022, la valeur totale du commerce et des investissements intra-OCI soutenus par la SIACE a atteint 88 milliards de dollars. Grâce à ce protocole d’accord, nous sommes impatients d’aider les exportateurs, les investisseurs et les institutions financières à atteindre de nouveaux marchés à l’échelle mondiale, puisque nos solutions leur permettent de contourner les risques politiques et commerciaux inhérents au commerce international. »

Moody’s Investor Services (Moody’s) a confirmé la notation Aa3 de la solidité financière d’assurance (IFSR) pour la SIACE avec une perspective stable pour la 15e année consécutive. La confirmation de cette notation reflète les solides améliorations de la situation financière de la SIACE, la gouvernance des risques et le soutien continu de sa société mère – la Banque islamique de développement (BID) et de plusieurs membres souverains de l’Organisation de la coopération islamique (OCI).

Moody’s a souligné le renforcement de la qualité de crédit autonome de la SIACE au cours des dernières années grâce à une meilleure rentabilité, un positionnement favorable sur le marché, des opérations bien diversifiées, un portefeuille d’investissements très liquide et à une forte adéquation du capital.

Malgré les pressions engendrées par la pandémie du Coronavirus, la rentabilité de la SIACE a su résister en 2021. La régularité du résultat net de 6,5 millions de dinars islamiques alliée à un ratio combiné de 43,7 % a bénéficié d’une couverture commerciale améliorée, d’une réduction des risques et des concentrations entreprises/clients, ainsi que de gains d’efficacité.

Moody's a attribué, pour la première fois, un Score d'Impact de Crédit ESG (SIC-2) à la SIACE. Le score, avec une valeur neutre-à-faible, reflète un impact limité des facteurs environnementaux et sociaux sur la notation. La solide gouvernance de la Société et l'accent prédominant sur l'assurance-crédit avec son portefeuille diversifié contribuent à atténuer son exposition aux risques environnementaux.

S.E. M. Oussama KAISSI, le DG de la SIACE, a félicité tous les pays membres, les honorables membres du conseil d’administration et le personnel de la SIACE pour la régularité de ce succès. Il a réitéré l'engagement de la direction à maintenir les priorités stratégiques pour soutenir les pays membres en se concentrant sur la sécurité alimentaire, le financement vert, l’engagement en matière des critères Environnementaux, Sociaux et de Gouvernance (ESG), ainsi que d'autres mesures pour soutenir le développement de la finance islamique conformément aux initiatives du Groupe de la BID.

En adressant ses remerciements à tous, le DG a réaffirmé que la SIACE résisterait aux changements économiques structurels mondiaux résultant de la pandémie, et maintiendrait sa viabilité financière et sa solvabilité.

Avec des perspectives stables et pour la 15e année consécutive, Moody’s confirme une notation Aa3 de la Solidité Financière D’assurance (IFSR) pour La Société Islamique D’assurance Des Investissements Et Des Crédits À L’exportation (SIACE)

décembre 18, 2022

Moody’s Investor Services (Moody’s) a confirmé la notation Aa3 de la solidité financière d’assurance (IFSR) pour la SIACE avec une perspective stable pour la 15e année consécutive. La confirmation de cette notation reflète les solides améliorations de la situation financière de la SIACE, la gouvernance des risques et le soutien continu de sa société mère – la Banque islamique de développement (BID) et de plusieurs membres souverains de l’Organisation de la coopération islamique (OCI).

Moody’s a souligné le renforcement de la qualité de crédit autonome de la SIACE au cours des dernières années grâce à une meilleure rentabilité, un positionnement favorable sur le marché, des opérations bien diversifiées, un portefeuille d’investissements très liquide et à une forte adéquation du capital.

Malgré les pressions engendrées par la pandémie du Coronavirus, la rentabilité de la SIACE a su résister en 2021. La régularité du résultat net de 6,5 millions de dinars islamiques alliée à un ratio combiné de 43,7 % a bénéficié d’une couverture commerciale améliorée, d’une réduction des risques et des concentrations entreprises/clients, ainsi que de gains d’efficacité.

Moody’s a attribué, pour la première fois, un Score d’Impact de Crédit ESG (SIC-2) à la SIACE. Le score, avec une valeur neutre-à-faible, reflète un impact limité des facteurs environnementaux et sociaux sur la notation. La solide gouvernance de la Société et l’accent prédominant sur l’assurance-crédit avec son portefeuille diversifié contribuent à atténuer son exposition aux risques environnementaux.

S.E. M. Oussama KAISSI, le DG de la SIACE, a félicité tous les pays membres, les honorables membres du conseil d’administration et le personnel de la SIACE pour la régularité de ce succès. Il a réitéré l’engagement de la direction à maintenir les priorités stratégiques pour soutenir les pays membres en se concentrant sur la sécurité alimentaire, le financement vert, l’engagement en matière des critères Environnementaux, Sociaux et de Gouvernance (ESG), ainsi que d’autres mesures pour soutenir le développement de la finance islamique conformément aux initiatives du Groupe de la BID.

En adressant ses remerciements à tous, le DG a réaffirmé que la SIACE résisterait aux changements économiques structurels mondiaux résultant de la pandémie, et maintiendrait sa viabilité financière et sa solvabilité.

Les travaux de la COP27 sur les questions d'action climatique, d'atténuation, d'adaptation et de financement se sont conclus à Charm El-Cheikh le 18 novembre 2022. Il est trop tôt pour évaluer l'impact des engagements pris, tels que le Fonds des pertes et dommages pour les États vulnérables au changement climatique, le manque de consensus, l’absence des dirigeants de certains pays les plus grands émetteurs de gaz à effet de serre, ou l'inaction et retards perçus dans la réalisation des objectifs Net Zero fixés dans l'Accord de Paris de 2015 et l'agenda plus large des ODD des Nations Unies.

La Société islamique pour l'assurance des investissements et des crédits à l'exportation (SIACE) a, a néanmoins connu une COP27 fructueuse et intéressante en co-organisant trois événements parallèles opportuns, trois discussions informelles, et a signé un protocole d'accord avec la Société financière africaine (AFC) pour fournir conjointement des projets d'action pour le climat au prix du marché en utilisant les solutions de réduction des risques de la SIACE dans les États membres africains communs aux deux.

M. Oussama Kaissi, DG de la SIACE, a participé à une table ronde sur la sécurité alimentaire et le changement climatique qui s'est concentrée sur le Programme d'intervention en matière de sécurité alimentaire (FSRP) de 10,54 milliards de dollars du Groupe de la BID. La SIACE, a souligné M. Kaissi, reconnaît que le financement relatif aux risques climatiques et défis de sécurité alimentaire pour les États membres sont énormes. Le soutien de la Société au FSRP est étayé par sa contribution initiale de 500 millions de dollars en PRI et couverture d'assurance-crédit, dont 150 millions de dollars ont été décaissés à ce jour, couvrant plusieurs transactions.

La SIACE et le Groupe BID jouent leurs rôles respectifs dans plusieurs projets de sécurité alimentaire dans les États membres. En tant qu'assureur multilatéral du Groupe, la suite d'outils d'assurance-crédit et d'assurance contre les risques politiques de la SIACE complète les chaînes de valeur locales et soutient l'importation de biens d'équipement, d'intrants agricoles et aide à renforcer le capital et l'expertise locaux. Les partenariats avec les acteurs du financement des projets agricoles sont indispensables. M. Kaissi est convaincu que le FSRP prendra le pas sur le moyen à long terme.

Lors du deuxième événement parallèle co-organisé avec InsuResilience sur « le rôle des partenariats dans l'accélération du financement climatique, la réduction des risques et l'action climatique », M. Kaissi a appelé toutes les parties prenantes à redoubler leurs efforts pour contribuer aux défis énormes et croissants de l'action climatique, de l'atténuation, de l'adaptation, du financement, de la réduction des risques, de la livraison et de l'impact. La récente adhésion de la SIACE à InsuResilience en tant que telle renforce son engagement à développer des solutions financières innovantes pour l'action climatique et le renforcement des capacités dans la coopération avec les partenaires de la plateforme aux États membres tels que la Gambie et par le biais d'autres initiatives, y compris le mécanisme Global Shield.

Les participants à la table ronde comprenaient S.E. Rohey John Manjang, ministre de l'Environnement, du Changement climatique et des Ressources naturelles de la Gambie, M. Jochen Flasbarth, secrétaire d'État au ministère fédéral du Développement économique et de la Coopération, Allemagne, et S.E. Kenneth Ofori-Atta, ministre des Finances du Ghana.

Le troisième événement parallèle, co-organisé avec la Banque commerciale internationale d’Egypte (CIB), s'est concentré sur la bancabilité des projets d'adaptation de la sécurité alimentaire en Afrique et le rôle de l'assurance politique et de crédit pour combler le déficit de financement, et la façon dont ‘‘Egypt's National Water’’, Le programme Alimentation et énergie (NWFE) contribuent à ce processus. M. Kaissi a noté que les pays en développement ont souvent des difficultés à attirer les niveaux requis de flux d'Investissements Directs Etrangers privés entrants, en partie parce que les projets ne sont pas bancables. Les projets impliquant l'adaptation au climat dans les domaines de la sécurité alimentaire, de l'eau et de l'énergie présentent des défis importants pour les investisseurs privés en raison de divers risques.

L'engagement du secteur privé dans le financement climatique va de pair avec l'amélioration du crédit. La SIACE est, à cet égard, particulièrement bien placée pour réaliser ses politiques de durabilité et son accès aux organismes nationaux et infranationaux de ses États membres, qui s'engagent dans des projets et des transactions d'action climatique pertinents. Il y a également de la place pour des solutions alternatives de financement et d'atténuation des risques telles que ‘‘Green Sukuk’’, étant donné que le déficit de financement des projets climatiques mondiaux est estimé à 1,15 milliards de dollars. Le NWFE, a-t-il signalé, pourrait être un modèle pour des projets en Afrique.

Le dernier événement parallèle portait sur le financement climatique en Afrique, axé sur les défis du financement des projets renouvelables et le rôle du crédit et de la réduction des risques politiques. Des représentants de MUFG, BADEA, KfW et AFC Capital ont discuté de divers aspects des défis du financement de l'adaptation climatique en Afrique.

Les trois conversations et discussions informelles ont donné lieu à des discussions animées sur le rôle crucial des énergies renouvelables, les défis de la transition vers une énergie propre, la Middle East Green Initiative et le rôle de la technologie et de la finance. Les discussions informelles ont eu lieu avec M. Paddy Padmanathan, vice-président et PDG d'ACWA Power, Arabie Saoudite, Lord Adair Turner, président de la Commission des transitions énergétiques et président de Chubb Europe, Royaume-Uni, et S.E. Noura Turki Al Saud et S.E. Mashal Alshalan , Partenaires Financement d'AEON Strategy en Arabie Saoudite.

La SIACE assurera le suivi de son engagement réussi à la COP27 comprenant trois événements parallèles opportuns, trois conversations informelles et un protocole d’accord pour le renforcement de son programme d’action climatique, et de bancabilité des projets

décembre 13, 2022

Les travaux de la COP27 sur les questions d’action climatique, d’atténuation, d’adaptation et de financement se sont conclus à Charm El-Cheikh le 18 novembre 2022. Il est trop tôt pour évaluer l’impact des engagements pris, tels que le Fonds des pertes et dommages pour les États vulnérables au changement climatique, le manque de consensus, l’absence des dirigeants de certains pays les plus grands émetteurs de gaz à effet de serre, ou l’inaction et retards perçus dans la réalisation des objectifs Net Zero fixés dans l’Accord de Paris de 2015 et l’agenda plus large des ODD des Nations Unies.

La Société islamique pour l’assurance des investissements et des crédits à l’exportation (SIACE) a, a néanmoins connu une COP27 fructueuse et intéressante en co-organisant trois événements parallèles opportuns, trois discussions informelles, et a signé un protocole d’accord avec la Société financière africaine (AFC) pour fournir conjointement des projets d’action pour le climat au prix du marché en utilisant les solutions de réduction des risques de la SIACE dans les États membres africains communs aux deux.

M. Oussama Kaissi, DG de la SIACE, a participé à une table ronde sur la sécurité alimentaire et le changement climatique qui s’est concentrée sur le Programme d’intervention en matière de sécurité alimentaire (FSRP) de 10,54 milliards de dollars du Groupe de la BID. La SIACE, a souligné M. Kaissi, reconnaît que le financement relatif aux risques climatiques et défis de sécurité alimentaire pour les États membres sont énormes. Le soutien de la Société au FSRP est étayé par sa contribution initiale de 500 millions de dollars en PRI et couverture d’assurance-crédit, dont 150 millions de dollars ont été décaissés à ce jour, couvrant plusieurs transactions.

La SIACE et le Groupe BID jouent leurs rôles respectifs dans plusieurs projets de sécurité alimentaire dans les États membres. En tant qu’assureur multilatéral du Groupe, la suite d’outils d’assurance-crédit et d’assurance contre les risques politiques de la SIACE complète les chaînes de valeur locales et soutient l’importation de biens d’équipement, d’intrants agricoles et aide à renforcer le capital et l’expertise locaux. Les partenariats avec les acteurs du financement des projets agricoles sont indispensables. M. Kaissi est convaincu que le FSRP prendra le pas sur le moyen à long terme.

Lors du deuxième événement parallèle co-organisé avec InsuResilience sur « le rôle des partenariats dans l’accélération du financement climatique, la réduction des risques et l’action climatique », M. Kaissi a appelé toutes les parties prenantes à redoubler leurs efforts pour contribuer aux défis énormes et croissants de l’action climatique, de l’atténuation, de l’adaptation, du financement, de la réduction des risques, de la livraison et de l’impact. La récente adhésion de la SIACE à InsuResilience en tant que telle renforce son engagement à développer des solutions financières innovantes pour l’action climatique et le renforcement des capacités dans la coopération avec les partenaires de la plateforme aux États membres tels que la Gambie et par le biais d’autres initiatives, y compris le mécanisme Global Shield.

Les participants à la table ronde comprenaient S.E. Rohey John Manjang, ministre de l’Environnement, du Changement climatique et des Ressources naturelles de la Gambie, M. Jochen Flasbarth, secrétaire d’État au ministère fédéral du Développement économique et de la Coopération, Allemagne, et S.E. Kenneth Ofori-Atta, ministre des Finances du Ghana.

Le troisième événement parallèle, co-organisé avec la Banque commerciale internationale d’Egypte (CIB), s’est concentré sur la bancabilité des projets d’adaptation de la sécurité alimentaire en Afrique et le rôle de l’assurance politique et de crédit pour combler le déficit de financement, et la façon dont ‘‘Egypt’s National Water’’, Le programme Alimentation et énergie (NWFE) contribuent à ce processus. M. Kaissi a noté que les pays en développement ont souvent des difficultés à attirer les niveaux requis de flux d’Investissements Directs Etrangers privés entrants, en partie parce que les projets ne sont pas bancables. Les projets impliquant l’adaptation au climat dans les domaines de la sécurité alimentaire, de l’eau et de l’énergie présentent des défis importants pour les investisseurs privés en raison de divers risques.

L’engagement du secteur privé dans le financement climatique va de pair avec l’amélioration du crédit. La SIACE est, à cet égard, particulièrement bien placée pour réaliser ses politiques de durabilité et son accès aux organismes nationaux et infranationaux de ses États membres, qui s’engagent dans des projets et des transactions d’action climatique pertinents. Il y a également de la place pour des solutions alternatives de financement et d’atténuation des risques telles que ‘‘Green Sukuk’’, étant donné que le déficit de financement des projets climatiques mondiaux est estimé à 1,15 milliards de dollars. Le NWFE, a-t-il signalé, pourrait être un modèle pour des projets en Afrique.

Le dernier événement parallèle portait sur le financement climatique en Afrique, axé sur les défis du financement des projets renouvelables et le rôle du crédit et de la réduction des risques politiques. Des représentants de MUFG, BADEA, KfW et AFC Capital ont discuté de divers aspects des défis du financement de l’adaptation climatique en Afrique.

Les trois conversations et discussions informelles ont donné lieu à des discussions animées sur le rôle crucial des énergies renouvelables, les défis de la transition vers une énergie propre, la Middle East Green Initiative et le rôle de la technologie et de la finance. Les discussions informelles ont eu lieu avec M. Paddy Padmanathan, vice-président et PDG d’ACWA Power, Arabie Saoudite, Lord Adair Turner, président de la Commission des transitions énergétiques et président de Chubb Europe, Royaume-Uni, et S.E. Noura Turki Al Saud et S.E. Mashal Alshalan , Partenaires Financement d’AEON Strategy en Arabie Saoudite.

La Société Islamique pour l'Assurance des Investissements et des Crédits à l'Exportation (SIACE), la branche assurance du Groupe de la Banque Islamique de Développement (BID), a signé aujourd'hui un important protocole d'accord (MoU) avec la Société financière africaine (AFC) par lequel les deux parties acceptent de coopérer « pour promouvoir une action conjointe dans la création, le financement et la mise en œuvre de projets d'action pour le climat grâce au soutien de la SIACE en matière d'assurance crédit et d'investissement dans les États membres africains communs aux deux sociétés ».

Le protocole d'accord a été signé par M. Oussama Kaissi, Directeur général de la SIACE, et Mallam Samaila D. Zubairu, Président et Directeur général de l'AFC, à Charm el-Cheikh à l'occasion de la réunion de la COP27. La SIACE, bien sûr, est signataire des Principes pour une assurance responsable et elle est le seul assureur multilatéral au monde conforme à la charia. L'AFC est la principale institution multilatérale de financement du développement des infrastructures en Afrique.

L'investissement durable, l'action climatique, l'adaptation et la finance, et la finance verte sont fermement ancrés dans le processus de diligence raisonnable des deux institutions en reliant toutes les nouvelles affaires et autres requêtes aux indicateurs des ODD et de l'action climatique. La SIACE et les sociétés multilatérales homologues ont un rôle important à jouer dans la contribution à l'écosystème international du financement climatique. Elle s'est engagée à renforcer davantage ses opérations de finance verte et durable.

La promotion de l'action climatique par le développement des capacités, le financement résilient, le soutien des politiques dans les infrastructures d'adaptation au climat et à travers la fourniture d'atténuation des risques et d'amélioration du crédit couvrent les mandats de la SIACE et de l'AFC. Un autre mandat de la SIACE est de promouvoir les flux commerciaux et des IDE, en l’occurrence vers ses 23 États membres africains, et en partenariat avec des institutions homologues et spécialisées.

Le protocole d'accord reconnaît que la coopération entre l'AFC et la SIACE entraînerait une meilleure coordination et une mise en œuvre plus efficace de leurs activités respectives au profit des projets d'action pour le climat, y compris la production d'énergie renouvelable dans les États membres de la SIACE, incluant la région Afrique.

À cet égard, les deux institutions dans le cadre du protocole d'accord de 3 ans échangeront de façon régulière les informations sur leurs pipelines de projets d'énergie renouvelable respectifs, dans le but d'explorer la création, le financement, l'assurance et la livraison de tels projets en se concentrant notamment sur le secteur des énergies renouvelables. L'AFC entretient une relation proactive avec le Groupe de la BID et a même levé des fonds pour les infrastructures grâce à l'émission de Sukuk. M. Oussama Kaissi, Directeur général de la SIACE, s'est vivement félicité de la signature du protocole d'accord avec l'AFC : « Ce protocole d'accord améliore davantage le manuel évolutif de la SIACE sur l'action climatique et l'atténuation des risques, qu'il s'agisse de financement, de souscription, de rehaussement de crédit et de gestion des risques. C'est aussi un autre exemple de coopération Sud-Sud et la reconnaissance que l'Afrique doit trouver des solutions de financement africaines pour financer les besoins africains. Le financement et l'investissement de projets islamiques, ainsi que les solutions de réduction des risques, sont idéaux pour les projets d'infrastructure à long terme, compte tenu de leur connectivité au financement de l'économie réelle, notamment par le biais de partenariats public-privé dans le partage des risques. Nous avons hâte de renforcer cette relation importante avec l'AFC dans ce domaine clé de l'infrastructure de l'action pour le climat. »

La SIACE signe un protocole d’accord de coopération historique avec l’AFC pour promouvoir le lancement, le financement et l’exécution de projets d’action pour le climat dans les États membres africains en utilisant les solutions de réduction des risques de la SIACE

novembre 9, 2022

La Société Islamique pour l’Assurance des Investissements et des Crédits à l’Exportation (SIACE), la branche assurance du Groupe de la Banque Islamique de Développement (BID), a signé aujourd’hui un important protocole d’accord (MoU) avec la Société financière africaine (AFC) par lequel les deux parties acceptent de coopérer « pour promouvoir une action conjointe dans la création, le financement et la mise en œuvre de projets d’action pour le climat grâce au soutien de la SIACE en matière d’assurance crédit et d’investissement dans les États membres africains communs aux deux sociétés ».

Le protocole d’accord a été signé par M. Oussama Kaissi, Directeur général de la SIACE, et Mallam Samaila D. Zubairu, Président et Directeur général de l’AFC, à Charm el-Cheikh à l’occasion de la réunion de la COP27. La SIACE, bien sûr, est signataire des Principes pour une assurance responsable et elle est le seul assureur multilatéral au monde conforme à la charia. L’AFC est la principale institution multilatérale de financement du développement des infrastructures en Afrique.

L’investissement durable, l’action climatique, l’adaptation et la finance, et la finance verte sont fermement ancrés dans le processus de diligence raisonnable des deux institutions en reliant toutes les nouvelles affaires et autres requêtes aux indicateurs des ODD et de l’action climatique. La SIACE et les sociétés multilatérales homologues ont un rôle important à jouer dans la contribution à l’écosystème international du financement climatique. Elle s’est engagée à renforcer davantage ses opérations de finance verte et durable.

La promotion de l’action climatique par le développement des capacités, le financement résilient, le soutien des politiques dans les infrastructures d’adaptation au climat et à travers la fourniture d’atténuation des risques et d’amélioration du crédit couvrent les mandats de la SIACE et de l’AFC. Un autre mandat de la SIACE est de promouvoir les flux commerciaux et des IDE, en l’occurrence vers ses 23 États membres africains, et en partenariat avec des institutions homologues et spécialisées.

Le protocole d’accord reconnaît que la coopération entre l’AFC et la SIACE entraînerait une meilleure coordination et une mise en œuvre plus efficace de leurs activités respectives au profit des projets d’action pour le climat, y compris la production d’énergie renouvelable dans les États membres de la SIACE, incluant la région Afrique.

À cet égard, les deux institutions dans le cadre du protocole d’accord de 3 ans échangeront de façon régulière les informations sur leurs pipelines de projets d’énergie renouvelable respectifs, dans le but d’explorer la création, le financement, l’assurance et la livraison de tels projets en se concentrant notamment sur le secteur des énergies renouvelables. L’AFC entretient une relation proactive avec le Groupe de la BID et a même levé des fonds pour les infrastructures grâce à l’émission de Sukuk. M. Oussama Kaissi, Directeur général de la SIACE, s’est vivement félicité de la signature du protocole d’accord avec l’AFC : « Ce protocole d’accord améliore davantage le manuel évolutif de la SIACE sur l’action climatique et l’atténuation des risques, qu’il s’agisse de financement, de souscription, de rehaussement de crédit et de gestion des risques. C’est aussi un autre exemple de coopération Sud-Sud et la reconnaissance que l’Afrique doit trouver des solutions de financement africaines pour financer les besoins africains. Le financement et l’investissement de projets islamiques, ainsi que les solutions de réduction des risques, sont idéaux pour les projets d’infrastructure à long terme, compte tenu de leur connectivité au financement de l’économie réelle, notamment par le biais de partenariats public-privé dans le partage des risques. Nous avons hâte de renforcer cette relation importante avec l’AFC dans ce domaine clé de l’infrastructure de l’action pour le climat. »

Djeddah,
La Société Islamique pour l'Assurance des investissements et des Crédits à l'Exportation (SIACE), qui est la branche assurance du Groupe de la Banque islamique de développement (BID), en coopération avec la Banque Commerciale Internationale (BCI), la plus grande et la plus importante banque du secteur privé en Égypte, organise une importante Table ronde le 9 novembre 2022 à Charm El Cheikh lors de la COP27.

Deux piliers importants dans l'action pour le climat sont la réduction des émissions de gaz à effet de serre en mettant l'accent sur la transition vers l’énergie propre, par exemple, grâce à la génération de projets d'énergies renouvelables, et l'adaptation aux effets funestes du changement climatique, notamment les impacts sur l'eau liés au climat et la sécurité alimentaire.

La nécessité d'une réflexion originale impliquant des partenariats et des solutions d'atténuation des risques, telles que l'assurance-crédit et l’assurance contre les risques politiques, devient de plus en plus urgente. Les perturbations de la chaîne d'approvisionnement dues au conflit actuel entre l'Ukraine et la Russie ont eu un effet grave sur la sécurité alimentaire des pays importateurs de céréales dans les États membres de l'OCI, notamment en Afrique, et sur la pauvreté énergétique structurelle mondiale.

Le lancement du pays hôte de la COP27, le programme national complet pour l'eau, l'alimentation et l'énergie (NWFE) de l'Égypte, fournit un manuel précieux sur l'implication des investissements du secteur privé, la bancabilité des projets d'adaptation climatique et les outils de réduction des risques d'amélioration du crédit des institutions multilatérales telles que la SIACE. La NWFE est soutenue par l'audacieux programme Egypt Vision 2030, qui est focalisé sur l'adaptation au changement climatique.

La sécurité climatique affecte la pauvreté en eau et la protection des zones côtières, ainsi que le développement de villes durables et la gestion des déchets. Tous les États membres de la SIACE en Afrique sont confrontés à des défis similaires.

Dans le cadre de leurs objectifs ESG, les entités du secteur privé ont des objectifs spécifiques de financement climatique, et cette table ronde de haut niveau présentera les perspectives du secteur bancaire sur la bancabilité des projets d'adaptation en mettant l'accent sur la sécurité alimentaire.

Le panel s'adressera entre autres au PDG de la SIACE, Oussama Kaissi, à M. Talha Karim, Directeur des risques à la BCI, à Mme Lina Osman, Chef Finance durable, Standard Chartered Bank et à M. Jahan Chowdhury, Chef de groupe pour l'environnement et le climat, le FIDA et des hauts représentants d’Afreximbank.

Les principaux sujets qui seront abordés comprennent le programme NWFE de l'Égypte, le cas du financement de projets d'adaptation du point de vue de la BCI, la recherche d'un aperçu du financement climatique pour l'adaptation d'un point de vue multilatéral tel que la BADEA, et la présentation de l'expérience de la Standard Chartered Bank dans le domaine du financement vert sur les marchés africains.

En tant que signataire des Principes pour une assurance responsable et en tant que seul assureur multilatéral conforme à la charia, l'investissement durable, l'action et la finance pour le climat et la finance verte sont bien intégrés au processus de diligence raisonnable de la SIACE et ce, en reliant toutes les nouvelles affaires et autres requêtes aux ODD et au indicateurs relatifs à l’action climatique. La SIACE et les organisations multilatérales homologues ont un rôle important à jouer dans la contribution à l'écosystème international du financement climatique. Elle s'est engagée à renforcer davantage ses opérations de finance verte et durable.

M. Oussama Kaissi, PDG de la SIACE, a commenté : « Cet événement parallèle est une plate-forme unique pour aborder les cadres et les méthodologies d'évaluation des projets d'adaptation climatique en se focalisant sur l'Afrique. Il est important pour tous les partenaires et parties prenantes qu’ils partagent les expériences acquises, les réussites et les meilleures pratiques et explorent les opportunités d'investissement et de commerce pour l'adaptation. »

LA SIACE et la BCI organisent une table ronde de la COP27 sur la bancabilité des projets d’adaptation au climat axée sur la sécurité alimentaire en Afrique, présentant le programme NWFE de l’Égypte et le rôle de l’assurance-crédit et des investissements dans la réduction du déficit de financement

novembre 1, 2022

Djeddah,
La Société Islamique pour l’Assurance des investissements et des Crédits à l’Exportation (SIACE), qui est la branche assurance du Groupe de la Banque islamique de développement (BID), en coopération avec la Banque Commerciale Internationale (BCI), la plus grande et la plus importante banque du secteur privé en Égypte, organise une importante Table ronde le 9 novembre 2022 à Charm El Cheikh lors de la COP27.

Deux piliers importants dans l’action pour le climat sont la réduction des émissions de gaz à effet de serre en mettant l’accent sur la transition vers l’énergie propre, par exemple, grâce à la génération de projets d’énergies renouvelables, et l’adaptation aux effets funestes du changement climatique, notamment les impacts sur l’eau liés au climat et la sécurité alimentaire.

La nécessité d’une réflexion originale impliquant des partenariats et des solutions d’atténuation des risques, telles que l’assurance-crédit et l’assurance contre les risques politiques, devient de plus en plus urgente. Les perturbations de la chaîne d’approvisionnement dues au conflit actuel entre l’Ukraine et la Russie ont eu un effet grave sur la sécurité alimentaire des pays importateurs de céréales dans les États membres de l’OCI, notamment en Afrique, et sur la pauvreté énergétique structurelle mondiale.

Le lancement du pays hôte de la COP27, le programme national complet pour l’eau, l’alimentation et l’énergie (NWFE) de l’Égypte, fournit un manuel précieux sur l’implication des investissements du secteur privé, la bancabilité des projets d’adaptation climatique et les outils de réduction des risques d’amélioration du crédit des institutions multilatérales telles que la SIACE. La NWFE est soutenue par l’audacieux programme Egypt Vision 2030, qui est focalisé sur l’adaptation au changement climatique.

La sécurité climatique affecte la pauvreté en eau et la protection des zones côtières, ainsi que le développement de villes durables et la gestion des déchets. Tous les États membres de la SIACE en Afrique sont confrontés à des défis similaires.

Dans le cadre de leurs objectifs ESG, les entités du secteur privé ont des objectifs spécifiques de financement climatique, et cette table ronde de haut niveau présentera les perspectives du secteur bancaire sur la bancabilité des projets d’adaptation en mettant l’accent sur la sécurité alimentaire.

Le panel s’adressera entre autres au PDG de la SIACE, Oussama Kaissi, à M. Talha Karim, Directeur des risques à la BCI, à Mme Lina Osman, Chef Finance durable, Standard Chartered Bank et à M. Jahan Chowdhury, Chef de groupe pour l’environnement et le climat, le FIDA et des hauts représentants d’Afreximbank.

Les principaux sujets qui seront abordés comprennent le programme NWFE de l’Égypte, le cas du financement de projets d’adaptation du point de vue de la BCI, la recherche d’un aperçu du financement climatique pour l’adaptation d’un point de vue multilatéral tel que la BADEA, et la présentation de l’expérience de la Standard Chartered Bank dans le domaine du financement vert sur les marchés africains.

En tant que signataire des Principes pour une assurance responsable et en tant que seul assureur multilatéral conforme à la charia, l’investissement durable, l’action et la finance pour le climat et la finance verte sont bien intégrés au processus de diligence raisonnable de la SIACE et ce, en reliant toutes les nouvelles affaires et autres requêtes aux ODD et au indicateurs relatifs à l’action climatique. La SIACE et les organisations multilatérales homologues ont un rôle important à jouer dans la contribution à l’écosystème international du financement climatique. Elle s’est engagée à renforcer davantage ses opérations de finance verte et durable.

M. Oussama Kaissi, PDG de la SIACE, a commenté : « Cet événement parallèle est une plate-forme unique pour aborder les cadres et les méthodologies d’évaluation des projets d’adaptation climatique en se focalisant sur l’Afrique. Il est important pour tous les partenaires et parties prenantes qu’ils partagent les expériences acquises, les réussites et les meilleures pratiques et explorent les opportunités d’investissement et de commerce pour l’adaptation. »

Djeddah,

La Société islamique pour l'assurance des investissements et des crédits à l'exportation (ICIEC), l'agence assurance des crédits à l'exportation et des investissements du Groupe de la Banque islamique de développement (BID), et le Partenariat mondial InsuResilience (IGP) basé à Bonn organisent un Forum de haut niveau le 8 novembre 2022 lors de la COP27 à Charm el-Cheikh pour souligner l'importance des partenariats dans l'accélération de l'action pour le climat, l'atténuation, l'adaptation et le financement, y compris la réduction des risques de crédit et les solutions aux risques politiques.

InsuResilience est la première plateforme mondiale de collaboration inclusive et intégrée, d'apprentissage partagé et de prestation de solutions de financement et d'assurance contre les risques climatiques et des catastrophes. La SIACE a en effet adhéré à InsuResilience en septembre 2022, ce qui sera officialisé lors d'une cérémonie de signature à Charm el-Cheikh lors du Forum.

La Société reconnaît fermement le rôle clé que joue le Partenariat en rassemblant de nombreux États membres de la SIACE, dont 15 sont membres du Groupe V20 des ministres des Finances du Forum sur la vulnérabilité climatique, et le G20, ainsi que des donateurs, des acteurs du secteur privé, des organisations internationales et des groupes de la société civile pour la réalisation des objectifs plus larges de l'action pour le climat.

Le groupe V20 et la présidence du G7, dirigée par l'Allemagne, ont une ambition commune en ce sens qu'il faut répondre aux besoins urgents des économies et des personnes vulnérables face aux risques climatiques croissants. La façon d'y parvenir est d'utiliser un Bouclier mondial contre les risques climatiques (GSCR) en fournissant et en facilitant une protection préétablie plus importante et meilleure contre les risques, les pertes et les dommages liés au climat et aux catastrophes.

Lorsqu'une catastrophe liée au climat survient, la nécessité de mettre en place de meilleurs systèmes qui fournissent un financement immédiat de la manière la plus efficace, la plus efficace et la plus rapide pour les plus vulnérables est une question vitale. Jusqu'à présent, la protection financière n'est pas suffisamment systématique, cohérente et soutenue.

Le Forum en tant que tel abordera plusieurs questions, y compris l'importance de l'IGP pour relever les défis complexes causés par le changement climatique, le rôle que le GSCR peut jouer dans la fourniture d'une réduction efficace des risques climatiques, et explorera comment la SIACE et d'autres acteurs du secteur privé peuvent soutenir la mise à l'échelle des solutions de financement et d'assurance des risques climatiques et des catastrophes (CDRFI) et de promouvoir un développement durable, vert et à l'épreuve du climat.

La Gambie, membre à la fois de l'IGP et de la SIACE, est très sensible aux menaces climatiques, en particulier les inondations fluviales, les inondations côtières et la pénurie d'eau. La Gambie a fait preuve de leadership et d'engagement envers l'action climatique en soumettant son deuxième rapport sur les contributions déterminées au niveau national intitulé « Stratégie de développement climatiquement neutre à long terme de la Gambie 2050 ». En tant que tel, le Forum se concentrera également sur la Gambie en tant qu'étude de pays et discutera des initiatives qui l'aideront à atteindre ses objectifs de développement neutre en carbone à l'horizon 2050 dans le cadre des objectifs du GSCR.

Le Forum sera animé par M. Oussama Kaissi, PDG de la SIACE et le Dr. Astrid Zwick, chef du secrétariat InsuResilience. Les participants au panel comprendront SE Mme Rohey John Manjang, ministre de l'environnement, du changement climatique et des ressources naturelles de la Gambie, Jochen Flasbarth, secrétaire d'État au ministère fédéral du développement économique et de la coopération, Allemagne, Lesley Nvodlu, PDG d'African Risk Capacity Ltd., et M. Stefan Wintels, PDG de KfW.

Oussama Kaissi, PDG de la SIACE, a déclaré : « La mission de développement de la SIACE est alignée sur les ODD des Nations Unies et les ambitions de l'Accord de Paris, et est informée par les besoins de nos États membres. Notre adhésion à InsuResilience renforce notre engagement à développer des solutions financières innovantes pour l'action climatique, l'atténuation, l'adaptation et le renforcement des capacités en coopération avec les partenaires de la Plateforme dans les États membres tels que la Gambie et à travers d'autres initiatives, y compris le mécanisme Global Shield. Nous considérons également notre rôle dans l'engagement avec le secteur privé comme un catalyseur pour combler le déficit de financement de l'action pour le climat. Beaucoup de Nos États membres sont situés dans la région du Sahel, qui est extrêmement vulnérable à la désertification accélérée et/ou aux inondations avec des effets néfastes sur les moyens de subsistance et la production agricole. Un mélange d'assurance souveraine, de transfert de risque d'entreprise et de micro-assurance fournit une réponse directe aux crises alimentaires liées à la sécheresse. »

La SIACE et le Forum InsuResilience à la COP27 mettent l’accent sur les partenariats pour accélérer la protection climatique et la réduction des risques grâce à l’initiative Golden Shield du G7/V20 dans des États membres tels que la Gambie

novembre 1, 2022

Djeddah,

La Société islamique pour l’assurance des investissements et des crédits à l’exportation (ICIEC), l’agence assurance des crédits à l’exportation et des investissements du Groupe de la Banque islamique de développement (BID), et le Partenariat mondial InsuResilience (IGP) basé à Bonn organisent un Forum de haut niveau le 8 novembre 2022 lors de la COP27 à Charm el-Cheikh pour souligner l’importance des partenariats dans l’accélération de l’action pour le climat, l’atténuation, l’adaptation et le financement, y compris la réduction des risques de crédit et les solutions aux risques politiques.

InsuResilience est la première plateforme mondiale de collaboration inclusive et intégrée, d’apprentissage partagé et de prestation de solutions de financement et d’assurance contre les risques climatiques et des catastrophes. La SIACE a en effet adhéré à InsuResilience en septembre 2022, ce qui sera officialisé lors d’une cérémonie de signature à Charm el-Cheikh lors du Forum.

La Société reconnaît fermement le rôle clé que joue le Partenariat en rassemblant de nombreux États membres de la SIACE, dont 15 sont membres du Groupe V20 des ministres des Finances du Forum sur la vulnérabilité climatique, et le G20, ainsi que des donateurs, des acteurs du secteur privé, des organisations internationales et des groupes de la société civile pour la réalisation des objectifs plus larges de l’action pour le climat.

Le groupe V20 et la présidence du G7, dirigée par l’Allemagne, ont une ambition commune en ce sens qu’il faut répondre aux besoins urgents des économies et des personnes vulnérables face aux risques climatiques croissants. La façon d’y parvenir est d’utiliser un Bouclier mondial contre les risques climatiques (GSCR) en fournissant et en facilitant une protection préétablie plus importante et meilleure contre les risques, les pertes et les dommages liés au climat et aux catastrophes.

Lorsqu’une catastrophe liée au climat survient, la nécessité de mettre en place de meilleurs systèmes qui fournissent un financement immédiat de la manière la plus efficace, la plus efficace et la plus rapide pour les plus vulnérables est une question vitale. Jusqu’à présent, la protection financière n’est pas suffisamment systématique, cohérente et soutenue.

Le Forum en tant que tel abordera plusieurs questions, y compris l’importance de l’IGP pour relever les défis complexes causés par le changement climatique, le rôle que le GSCR peut jouer dans la fourniture d’une réduction efficace des risques climatiques, et explorera comment la SIACE et d’autres acteurs du secteur privé peuvent soutenir la mise à l’échelle des solutions de financement et d’assurance des risques climatiques et des catastrophes (CDRFI) et de promouvoir un développement durable, vert et à l’épreuve du climat.

La Gambie, membre à la fois de l’IGP et de la SIACE, est très sensible aux menaces climatiques, en particulier les inondations fluviales, les inondations côtières et la pénurie d’eau. La Gambie a fait preuve de leadership et d’engagement envers l’action climatique en soumettant son deuxième rapport sur les contributions déterminées au niveau national intitulé « Stratégie de développement climatiquement neutre à long terme de la Gambie 2050 ». En tant que tel, le Forum se concentrera également sur la Gambie en tant qu’étude de pays et discutera des initiatives qui l’aideront à atteindre ses objectifs de développement neutre en carbone à l’horizon 2050 dans le cadre des objectifs du GSCR.

Le Forum sera animé par M. Oussama Kaissi, PDG de la SIACE et le Dr. Astrid Zwick, chef du secrétariat InsuResilience. Les participants au panel comprendront SE Mme Rohey John Manjang, ministre de l’environnement, du changement climatique et des ressources naturelles de la Gambie, Jochen Flasbarth, secrétaire d’État au ministère fédéral du développement économique et de la coopération, Allemagne, Lesley Nvodlu, PDG d’African Risk Capacity Ltd., et M. Stefan Wintels, PDG de KfW.

Oussama Kaissi, PDG de la SIACE, a déclaré : « La mission de développement de la SIACE est alignée sur les ODD des Nations Unies et les ambitions de l’Accord de Paris, et est informée par les besoins de nos États membres. Notre adhésion à InsuResilience renforce notre engagement à développer des solutions financières innovantes pour l’action climatique, l’atténuation, l’adaptation et le renforcement des capacités en coopération avec les partenaires de la Plateforme dans les États membres tels que la Gambie et à travers d’autres initiatives, y compris le mécanisme Global Shield. Nous considérons également notre rôle dans l’engagement avec le secteur privé comme un catalyseur pour combler le déficit de financement de l’action pour le climat. Beaucoup de Nos États membres sont situés dans la région du Sahel, qui est extrêmement vulnérable à la désertification accélérée et/ou aux inondations avec des effets néfastes sur les moyens de subsistance et la production agricole. Un mélange d’assurance souveraine, de transfert de risque d’entreprise et de micro-assurance fournit une réponse directe aux crises alimentaires liées à la sécheresse. »


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